Impôt Trading : Meilleure Fiscalité Trader

impot-trading-fiscalite-tradingImpôt Trading : Le trading n’est pas un jeu et il existe des lois et des normes qui régissent cette activité. Les gains ou les bénéfices réalisés en bourse sont considérés comme des revenus. Ce qui implique que vous êtes appelé à payer des impôts sur ces derniers. Découvrez ici tout ce qu’il faut savoir sur la Fiscalité Trading et Impôt Trading.

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Est-ce que le Trading est Imposable ?

Oui ! Les plus-values du Trading sont considérées comme des revenus de valeurs mobilières. Ainsi, ils seront considérés soumis au Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) de 30 % que nous connaissons également sous le nom de Flat Tax. Le PFU est une charge directe constituée de l’impôt sur les revenu et des prélèvements sociaux. Si vous investissez dans les actions des sociétés cotées en bourse, il est possible que vous percevez des dividendes. Dans ce cas, le montant perçu est considéré comme un revenu et donc taxé au Flat Tax de 30 %. Cela étant dit, la fiscalité trading varie en fonction de votre statut en tant qu’investisseur.

Pour les traders particuliers, il suffit de calculer la plus-value et la moins-value sur l’année en regroupant vos positions gagnantes ainsi que vos positions perdantes. Une fois les deux calculs effectués, vous n’aurez qu’à faire une soustraction entre l’ensemble des plus-value et celle des moins-values. Lorsque le résultat global de votre trading est positif, vous serez imposé à 30 % sur vos plus-values. Avec la Flat Tax, l’imposition pour les traders particuliers devient beaucoup plus simple à comprendre. En effet, il intègre directement l’imposition mais également les prélèvements sociaux. Dans le cas où le résultat est négatif au cours d’une année, vous devez le déclarer à l’administration fiscale.

Exemple de Fiscalité Trading en France

Prenons l’exemple d’un trader qui a effectué 330 opérations au cours de l’année 2025. L’administration fiscale prend en compte le dernier jour fiscal. A la fin de l’année, vous êtes tenu d’effectuer les différents calculs. A ce titre, on distingue 230 opérations gagnantes avec 100 opérations perdantes. Ce qui correspond à une plus-value de 50 000 euros et une moins-value de 15 000 euros. Ainsi, la plus-value totale de l’année sera le résultat de la soustraction entre le montant des positions gagnantes et positions perdantes. Le calcul suivant illustre mieux cette étape : 50 000 euros – 15 000 euros = 35 000 euros

Dans ce cas, la plus-value globale pour le compte de l’année fiscale est de 35 000 euros. Vous devrez déclarer ce montant à l’administration fiscale et vous serez imposé en conséquence. Ensuite, il faudra appliquer le prélèvement forfaitaire unique de 30 % à ces 35 000 euros. Ce qui revient à un montant de 10 500 euros. Par conséquent, l’impôt traditionnel à payer sur le revenu de l’année 2025 est de 10 500  euros. En déduisant les impôts dû revenu total, on obtient un bénéfice net de 24 500 euros.

Les Bases de la Fiscalité Trading Particulier

  • Selon les normes établies par l’AMF, les investisseurs particuliers n’ont pas le droit de se charger de  la gestion du portefeuille boursier et plus largement les actifs d’autrui. En effet, les conditions qui régissent cette activité sont assez drastiques et ne favorisent pas les particuliers. Avant d’envisager la gestion d’un panier d’actifs dont vous n’êtes pas propriétaire, vous devez détenir un pouvoir d’achat assez important.  C’est pour cela que seules les banques et les fonds d’investissement peuvent s’offrir ce privilège.
  • Ainsi, conformément aux normes de l’Autorité des Marchés Financiers, le seul et unique moyen de trader de manière légale est de gérer soi-même son portefeuille. Ou alors, de confier la gestion de ses fonds à une institution agréée par l’AMF. Rappelons que cette règle concerne exclusivement le marché financier français. Au-delà de la France, les exigences peuvent différer. Dans un cas comme dans l’autre, le trading implique des taxes et des impôts qui sont à la charge de l’investisseur. Mais cela n’est pas un réel obstacle à un placement boursier.
  • Dans un premier temps, on retrouve la taxe sur les transactions financières qui ne concerne que la Bourse de Paris. De plus, elle s’applique uniquement aux produits vifs et aux devises du Forex. Aussi, cette taxe n’affecte pas les transactions en day trading. Enfin, si votre approche d’investissement est basée sur le long terme, l’impôt trading sur une position maintenue pendant plusieurs années n’aura pas une grande influence sur vos gains.

Comment Calculer La Fiscalité Trading en France ?

En France, la fiscalité du trading est basée sur l’étude de l’ensemble des gains et des pertes au cours d’une saison. En d’autres termes, il s’agit du résultat obtenu suite aux différentes opérations effectuées sur le marché au cours d’une année. Ici, la saison correspond à la période allant du premier jour de l’année (1er Janvier), au dernier jour de l’année (31 décembre). 

Par ailleurs, il est également important de prendre connaissance du taux d’imposition appliqué aux gains réalisés par les investisseurs boursiers en France. Ainsi, le taux d’imposition s’élève à 30 %. Ce qui correspond à la somme des contributions sociales (17,2 %) et de l’impôt sur le revenu (12,8 %).

Impôt Trading en Dehors de la France

  • La fiscalité trading en dehors de la France est un sujet récurrent puisque la plupart des investisseurs travaillent avec des courtiers à l’étranger. Cela s’explique par le fait que la plupart des brokers populaires sont basés dans des pays autres que la France. Ainsi, le nombre d’intermédiaires financiers ayant des bureaux en France et délivrant un imprimé fiscal unique à leurs clients est très bas. 
  • Toutefois, cela ne signifie pas que les brokers à l’étranger ne sont pas autorisés à fournir leurs services aux particuliers français. Au contraire, ils peuvent proposer leurs offres aux résidents français. Mais la seule contrainte est qu’ils ne sont pas obligés de fournir le document de calcul de l’impôt trading.
  • Certains courtiers de bonne foi vous fourniront un accès détaillé à l’historique de l’ensemble des ordres que vous avez effectués. Ou que votre gestionnaire a eu l’occasion de réaliser pour votre compte. Dans cet historique, vous aurez accès à l’ensemble des gains et des pertes réalisées sur le compte. En d’autres termes, les brokers en dehors de la France vous fourniront les mêmes informations que les établissements français. Par ailleurs, notez qu’il existe un Bouclier fiscal mis en place pour éviter que les français ne migrent vers des pays à fiscalité réduite. 

Fiscalité Compte de Trading

  • Comme mentionné plus haut, le trading est considéré comme une activité à part entière. Ce qui signifie que les gains obtenus sont rangés dans la catégorie des revenus sociaux. Ainsi, tous les gains issus des opérations boursière sont imposés à taux qui peut varier en fonction de plusieurs facteurs. Toutefois, il faut noter que seules les plus-values boursières sont soumises à l’impôt sur le trading en France. En effet, en cas de perte, vous ne payez pas d’impôts.
  • D’autres part, si vous possédez plusieurs comptes de trading, l’imposition s’appliquera à l’ensemble de vos portefeuilles. Pour cela, il faudra calculer l’ensemble de vos plus-values et de vos sorties négatives afin d’obtenir l’imposition correspondante. Ici,vous payez un impôt commercial global pour l’ensemble de vos comptes.
  • Pour finir, il faut retenir que vous payez vos impôts pour le compte de l’année écoulée. En effet, cette année, vous payez les impôts de l’année précédente et les taxes de l’année en cours seront réglées dans 12 mois. Par ailleurs, en ce qui concerne les différents modes de trading, la fiscalité day trading est identique à celle du scalping et du swing trading. Pour information, le scalping est une approche de trading qui consiste à sortir d’une position dès que vous atteignez un certain niveau de gain. Le swing trading est une méthode de trading long terme pouvant durer jusqu’à plusieurs années.

Fiscalité du Trading avec un Compte-Titre

  • Si vous êtes un investisseur averti, vous n’êtes pas sans savoir que le compte-titre est la préférence de la plupart des traders. Et ce, pour de nombreuses raisons. En effet, le compte-titre ordinaire offre plusieurs avantages notamment en termes de panier de produits. Il permet la diversification des portefeuilles en vous donnant accès aux actifs financiers tels que les actions, les obligations, les ETF, des produits dérivés, etc.
  • Par ailleurs, certaines plateformes de trading proposent uniquement des comptes CFD ou comptes dérivés. Dans un cas comme dans l’autre, l’impôt trading demeure le même. Les plus-values obtenues sont imposées annuellement peu importe le mode d’investissement que vous adoptez. Même si vous choisissez de réinvestir vos actifs au sein du compte-titres ou que vous maintenez votre position, vous serez soumis à une fiscalité trading annuelle.

L’Implication des Brokers dans la Fiscalité Trading

  • Les courtiers en ligne ont également un rôle à jouer dans l’imposition des opérations boursières. Étant donné qu’il s’agit de l’intermédiaire qui assure le passage des ordres sur le marché, il est évident que son rôle sera des plus grands. En effet, les institutions financières qui exercent en France sont tenues de fournir un imprimé fiscal unique à leur client. Ce dernier est fourni de façon annuelle et permet à l’investisseur de calculer son imposition.
  • En réalité, l’imprimé fiscal  unique est un document qui résume les plus-values ainsi que mobilières réalisées au cours de l’année. Vous pourrez donc vous y référer pour calculer votre imposition et savoir ce que vous devez.  Rappelons que tous les organismes financiers qui opèrent sont légalement contraints de délivrer ce résumé à leurs clients.

Fiscalité Trading Pour Trader Particulier ?

La fiscalité du trader particulier s’applique sur sa tranche marginale d’imposition au titre des bénéfices non commerciaux. Ici, l’impôt plus-value trading qui entre en jeu n’est rien d’autre que l’impôt sur le revenu dont les taux peuvent subir quelques variations. Cependant, en fonction de la durée de détention des titres sur le compte, il faudra considérer un abattement forfaitaire. Celui-ci s’élève généralement à 50 % pour une durée comprise entre 2 et 8 ans. Si la détention se fait au-delà de huit années, le taux d’abattement forfaitaire passe à 65 %.

En France, l’imposition en général pour les sur les revenus des particuliers se fait selon un prélèvement à la source. C’est-à-dire que lorsque vous recevez votre paiement, c’est le net d’impôt que vous percevez. L’établissement pour lequel vous travaillez se charge de verser l’impôt directement à l’administration fiscale. Cependant, les revenus issus du trading étant des revenus de valeurs mobilières, ils ne peuvent pas être connus par le fisc tous les mois.

Ce qui signifie qu’ils ne peuvent pas être soumis au mode de fonctionnement du prélèvement à la source. Ici, votre intermédiaire financier ne peut pas verser les impôts à l’administration fiscale comme le ferait un employeur. Pour cela, vous êtes obligé d’informer l’administration fiscale de vos revenus provenant du trading au moment de votre déclaration annuelle. Sachant que cette dernière se fait généralement au mois de mai.

Fiscalité Trading Pour Trader Professionnel ?

Un trader professionnel n’est rien d’autre que la personne dont le trading est l’activité principale. Cela dit, il peut être assujettis aux deux régimes fiscaux. Que ce soit la fiscalité progressive de l’impôt sur le revenu ou le régime forfaitaire. Les deux possibilités sont applicables à la situation du trader professionnel.  En termes d’impôt sur trading, le négociateur dont la principale source de revenu est le trading a le choix entre plusieurs options :

  1. Impôt de type « flat tax » – C’est la première option qui s’offre à vous en termes de fiscalité sur le trading. Il s’agit d’un régime dans lequel l’impôt est strictement proportionnel au revenu. 
  2. Imposition au barème progressif – Si l’option Flat Tax ne vous intéresse pas, vous pouvez toujours opter pour la solution du barème progressif. Ici, les prélèvements peuvent varier en fonction du montant généré au cours d’une année fiscale. Dans un cas comme dans l’autre, il faut garder à l’esprit que chaque régime a ses avantages et ses inconvénients.

Comme indiqué précédemment, les valeurs mobilières réalisées par les particuliers ne rentrent pas dans le cadre du prélèvement à la source. En théorie, les gains issus du trading sont soumis au prélèvement forfaitaire unique (PFU) ou « flat tax », avec un taux global de 30 %. Où 12,8 % sont prélevés à titre d’impôt sur le revenu et les 17,2 % restant font office de prélèvements sociaux.

Par ailleurs, il faut noter que ce mode de taxation n’admet aucun abattement pour durer de détention des titres cédés. Ce qui signifie que la moindre plus-value obtenue est taxable. Aussi, le prélèvement fiscal est dû l’année qui suit la cession des titres et non l’année de la cession. En d’autres termes, si vous cédez vos titres , les prélèvements seront faits à partir de l’année 2025.

Comprendre le Fonctionnement des Options de Taxation

Les options de taxation varient selon qu’il s’agit d’un Prélèvement Forfaitaire Unique ou d’une Imposition à l’IR sur Option

Dans le cas d’un Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU)

Par défaut, les plus-values provenant du trading sont soumises au prélèvement forfaitaire unique (PFU ou flat tax)  dont le taux standard est de 30 %. Ce pourcentage de prélèvement se décompose comme suit :

  • 12,8 % correspondant à l’impôt sur le revenu ;
  • 17,2 % à titre de prélèvements sociaux.

Le régime d’imposition du PFU peut s’appliquer à tous les gains issus du trading. Que ce soit des plus-values, des dividendes, ou encore des intérêts. Et ce, peu importe le type de produit boursier dans lequel vous investissez : actions, indices, obligations, ETF, produits dérivés, OPCVM. Si vous avez fait face à des pertes sur votre placement, vos gains seront taxés au taux du PFU une fois les moins-values compensées. Cela implique que si vos pertes sont supérieures à vos gains au cours d’une année, vous pourrez déduire le reliquat  sur les gains des dix prochaines années.

Dans le cas d’une Imposition à l’IR sur Option

A défaut de subir le prélèvement forfaitaire unique, vous pouvez opter pour une imposition du trading au barème progressif de l’impôt sur le revenu. Cependant, en choisissant cette option, tous les revenus de votre patrimoine financier seront assujettis à ce régime. Qu’il s’agisse des revenus issus du rachat de vos assurances-vie, des comptes à termes, ou du crowdfunding.

Dans la plupart des cas, l’option le régime du barème progressif n’avantage que les contribuables dont la tranche marginale d’imposition est nulle ou égale à 11 %. Toutefois, vous pouvez bénéficier d’un abattement sur les dividendes et si possible sur les plus-values. Dans certains cas, vous aurez la possibilité de déduire les frais liés à la détention du compte-titres ou les primes d’assurance. Enfin, les prélèvements sociaux sont toujours déduits à hauteur de 17,2 %.

Comment Réduire la Fiscalité de vos Options de Trading ?

Il existe des solutions pour réduire l’impact de la taxation sur vos gains. Pour réduire vos impôts en trading, deux options s’offrent à vous. 

  1. La conservation des actifs – La première solution pour amoindrir les impôts du trading consiste en la conservation des titres détenus d’une année sur l’autre. L’objectif ici est de garder vos actifs le plus longtemps possible afin de retarder l’imposition. En effet, le principe de l’imposition est simple : vous êtes taxé sur vos plus values après la perception des gains. En général, le paiement des impôts intervient l’année suivant la cession des titres. Ainsi, lorsque vous conservez vos titres en portefeuille, vous ne subissez pas de taxation.
  2. Opter pour le trading au sein d’un PEA – L’autre option qui s’offre à vous en matière de réduction d’impôt est le trading au sein d’un PEA. En effet, dans le monde du trading, les investisseurs ont tendance à se tourner vers le compte titre ordinaire. Toutefois, en optant pour un PEA, vous pourriez bénéficier d’un certain nombre d’avantages fiscaux. Enfin, il est important d’appréhender les deux possibilités afin de choisir celle qui correspond le plus à vos objectifs.

Les Différents Types de PEA

On distingue :

  1. Le Plan d’Epargne Action : qui présente un plafond d’investissement fixé à 150 000 euros. C’est-à-dire que vous ne pouvez pas investir au-delà de 150 000 euros avec ce type de compte.
  2. Le Plan d’Epargne Action PME : dont le plafond est fixé à 225 000 euros. Ce type de compte se limite aux PME et aux ETI.

Notez que vous avez la possibilité de cumuler les deux types de PEA. Néanmoins, la somme des deux portefeuilles sera soumise au plafond de 225 000 euros. Par ailleurs, si votre objectif est d’investir dans des actions américaines ou des indices boursiers, vous ne pourrez pas tirer parti des avantages qu’offre le PEA.

Quelle Fiscalité ?

Avec le PEA, vous pouvez bénéficier d’une forte réduction sur le montant global de votre imposition.  En effet, si vous décidez de conserver votre compte PEA pendant une durée de 5 ans, vous ne serez pas imposé au moment de retirer vos plus-values. Cependant, vous serez toujours redevable des prélèvements sociaux de 17,2 %.

Mais vous ne payez plus les PFU dont la valeur nette est de 12,8 %. Avec cette solution, l’impôt trading qui est normalement de 30 % passe à 17,2 %. Ce qui représente une réduction plutôt remarquable qui pourrait vous intéresser. Votre épargne nette sera beaucoup plus importante.

L’Assurance Vie – Une Alternative au PEA ?

Au-delà de l’investissement boursier dans un compte plan d’épargne action, il existe d’autres solutions pour profiter d’une fiscalité avantageuse. C’est le cas par exemple de l’assurance vie qui semble être l’alternative la plus évidente à l’option du PEA. En effet, tout comme avec le plan d’épargne action, vous avez la possibilité de bénéficier d’une exonération d’impôts sur vos titres. A condition de les conserver pendant une période de 8 ans.

Cependant, tous les instruments financiers ne sont pas éligibles au compte d’assurance vie. L’objectif de ce dernier étant de vous permettre de tirer le meilleur parti du marché, il vous donne la possibilité d’investir uniquement aux actifs peu risqués. Il s’agit entre autres :

  1. Du fonds euros qui vous offre une certaine garantie en ce qui concerne la rentabilité de votre investissement.
  2. Des fonds de placement et des ETF obligataires qui ont la réputation d’être très peu volatiles. Et donc, très peu risqués.

Rappelons toutefois que l’assurance vie n’est pas adaptée au trading, c’est-à-dire à la négociation en bourse. En revanche, elle représente une excellente enveloppe fiscale pour effectuer un placement sur le long terme. Et ce, de manière judicieuse avec un niveau de risque très bas. En fonction de vos objectifs et de votre méthode de trading, vous pourrez envisager de combiner l’assurance vie aux autres types de comptes.

Comment Déclarer les Revenus du Trading ?

  • La déclaration des revenus de trading se fait grâce à la carte CERFA de déclaration fiscale. Ainsi, pour déclarer vos gains de trading sur votre carte, vous devez remplir les lignes 3VG et 3VH. Si votre intermédiaire financier est basé en France, il vous délivrera un imprimé fiscal unique. Il s’agit d’un document qui reprend toutes les informations concernant vos différentes opérations boursières de l’année. C’est à l’aide des données inscrites sur l’imprimé fiscal unique que vous pourrez remplir les deux lignes de la carte CERFA.
  • Par ailleurs, les courtiers de grande renommée qui n’ont pas de bureau en France, comme Vantage FX par exemple, procédure à suivre pour le remplissage de la carte différente. En effet, ces derniers ne sont pas obligés de vous délivrer un IFU. Nous présenterons la marche à suivre pour déclarer vos revenus avec ce type de broker dans les prochaines lignes.

Quid du Day Trading Impôt Canada ?

  • La fiscalité trading appliquée au Canada est légèrement différente de celle que les traders français doivent subir.  Mais cela ne signifie pas qu’il n’existe aucune similarité entre les réalités des deux pays. En effet, au Canada, tout comme en France, vous êtes imposé sur le montant des gains que vous réalisez après la cession des titres détenus en portefeuille. Dans la plupart des cas, c’est seulement 50 % de votre gain ou de votre perte qui devient la gain en capital imposable ou la perte en capital déductible.
  • Pour calculer le montant imposable, vous devrez vous servir des données inscrites sur le relevé de l’annexe 3 gains ou perte. Ici, les lignes concernées sont les numéros 13199 et 13200. Pour ce qui est de la déclaration, vous devez remplir les cases en inscrivant les données de chaque fonds commun de placement séparément. Cependant, si vous effectuez plusieurs transactions sur un même fonds au cours de la même année, il faudra les regrouper en seul endroit.

Fiscalité Trading Crypto Monnaies

La fiscalité trading ces crypto-monnaies n’a absolument rien de particulier. En effet, même si ces produits financiers sont des actifs numériques, ils sont considérés comme des titres de valeurs mobilières par l’administration fiscale. Ainsi, peu importe que vous investissiez dans le bitcoin, les actions, les obligations, les ETF, ou les matières premières, vous êtes soumis à l’impôt trading sur le revenu. Ce dernier implique l’application d’un taux de flat tax de 30 %. Dans ces 30 %, une partie correspond au prélèvement forfaitaire unique et l’autre représente les prélèvements sociaux.

Par ailleurs, lorsque vous traduisez les crypto-monnaies en direct, l’impôt trading appliqué dans ce cas sera différent.  Dans ce cas, vous êtes assujettis à l’impôt trading sur le revenu si l’ensemble de vos gains annuels est supérieur à 305 euros. Par exemple, si vous cédez 500 euros de bitcoin et que vous réalisez un bénéfice de 150 euros, vous n’êtes pas imposé au flat tax. En revanche, lorsque vous 500 euros de la même crypto monnaie et que vous réalisez une plus-value de 350 euros, vous serez imposé au flat tax de 30 %. Ce qui correspond à 105 euros d’impôts.

Conclusion – Que Retenir de l’Impôt Trading ?

Si vous souhaitez vous lancer dans le trading, vous devez vous renseigner sur la fiscalité du trading en France. De façon générale, le taux d’imposition des revenus issus de cette activité est de 30 %. Pour cela, il faudra effectuer des calculs pour connaître le montant de vos gains qui est imposable. Le calcul se fait grâce aux informations concernant les différentes positions que vous avez ouvertes au cours de l’année. A cet effet, certains courtiers proposent un imprimé fiscal unique qui regroupe l’ensemble des ordres passés au cours de l’année. 

Chez d’autres courtiers en revanche, vous aurez accès à l’historique des transactions effectuées. Ce qui vous permettra de calculer votre plus-value afin de procéder à la déclaration. Par ailleurs, il existe bien évidemment des solutions pour réduire ou éliminer les impôts que vous devez. Toutefois, chaque solution présente ses avantages et ses inconvénients. C’est pour cela que vous devez bien vous renseigner avant d’opter pour une option.

Comment Ne Pas Payer d’Impôt sur le Trading ?

Si vous souhaitez éviter les impôts plusieurs solutions s’offrent. La plus pratique est de conserver les actifs que vous détenez d’une année sur l’autre. Ce qui vous permettra de retarder l’imposition. En effet, en France, vous n’êtes imposés que sur les plus-values des titres que vous cédez.

Comment Déclarer le Trading ?

Pour déclarer vos revenus du trading, il convient de remplir les lignes de la carte cerfa. Il s’agit des lignes 3VG et 3VH. Au moment de la déclaration, vous devez mentionner vos pertes afin de bénéficier d’une cumulation sur 10 ans.

Quand Déclarer ses Revenus Trading ?

La déclaration des gains de trading doit se faire au même moment que la déclaration de vos revenus au mois de mai de chaque année. Ainsi, il s’agira de déclarer à la fois vos positions gagnantes et vos positions perdantes. Rappelons que les revenus déclarés sont ceux de l’année précédente.

Quelle Fiscalité pour les Traders Indépendants ?

Si le trader particulier est imposé au flat tax de 30 %, les traders indépendants devront faire face à des taxes plus importantes. Il s’agit entre autres de l’impôt sur bénéfices de 30 % et des charges sociales pouvant aller jusqu’à 15 %.

Impôt Bourse mars – Les Principes de la Déclaration des Impôts Bourse

La déclaration des impôts bourse en ligne se repose sur certains principes. En effet, l’Etat prélève uniquement des impôts que sur les plus-values ​​que vous réalisez et non sur les plus-values ​​latentes. Cela signifie que vous ne devrez payer vos impôts que lorsque vous avez vendu des titres. A noter que les plus-values ​​correspondent à la différence entre le prix de vente et le prix d’achat d’un titre.

En cas de perte de capital c’est-à-dire si vous avez vendu en dessous du prix d’achat, les moins-values ​​sont déduites des plus-values. Au cas où vous n’avez pu communiquer la perte dans la déclaration précédente, elle peut être reportée sur une période de 10 ans. Il est important toutefois de souligner qu’aucun impôt n’est dû si la perte déductible est égale ou supérieure au montant du bénéfice de l’année de la déclaration de l’impôt. En ce qui concerne les impôts des dividendes, ils sont prélevés directement à la source.

Bourse Déclaration Impôt – Quel Format De Déclaration Des Rendements Boursiers Choisir ?

  • En Cas De Réalisation Des Gains en Capital Uniquement : Vous devez remplir le formulaire 2074-CMV. Dans ce formulaire, vous pouvez déclarer des plus-values ​​et appliquer des déductions pendant la période de garde. Un fois les déductions effectuées, on déclare le montant des gains en capital à la case 3VG du formulaire 2042. Quant au montant de l’indemnité, il doit être déclaré dans la case 3SG.
  • En Cas De Réalisation Des Moins-Values Uniquement : Si malheureusement, vous n’avez réalisé que des pertes en capital au bout d’un an, vous devez déclarer la perte dans la case 3VH du formulaire 2042.
  • En Cas De Réalisation De Gains et Pertes En Capital : Vous devez remplir le formulaire 2074-CMV indiquant le montant des plus-values ​​et moins-values ​​encourues. Sinon, vous pouvez également appliquer la déduction plus tard. Quoi qu’il en soit, déclarez le montant final du gain en capital dans la case 3VG du formulaire 2042 et la franchise dans la case 3SG.

Remarque : Si la perte en capital totale est supérieure au gain en capital total, déclarez l’excédent à la case 3VH. Dans le cas où le courtier est français, on inscrit automatiquement les plus-values sur la déclaration d’impôt. Celles-ci seront considérées comme des revenus professionnels. D’autant plus, votre courtier vous donnera généralement accès à une Impression Comptabilité Unique (IFU). Cela vous permettra de vérifier et, le cas échéant, de corriger votre déclaration.

Bourse Déclaration Impôt – Comment Déclarer les Gains et les Pertes en Capital à l’Impôt ?

  • Plus-value bourse impôt : la plus-value sur cession de titres désigne l’hypothèse dans laquelle le cédant réalise des bénéfices en vendant ses parts. Elle est donc la différence positive qui existe entre le prix de cession des parts et leur prix d’acquisition.
  • Moins-value bourse impôt : Désignent des moins-values mobilières. On parle de moins-values suite à une transaction à perte de droits sociaux, de capitaux mobiliers, de titres ou d’actions en bourse sur le compte-titre du contribuable.

Impôt Bourse – Les Spécificités de la Déclaration d’Impôt et de la Fiscalité en France

  • Déclaration en France : Pour déclarer un gain ou une perte sur cession de valeurs mobilières (actions, comptable OPCVM et autres obligations), connectez-vous à votre espace personnel sur impots.gouv. Une autre option possible c’est d’utiliser le formulaire papier ou votre Imprimé Fiscal Unique (IFU) (Récapitulatif des revenus envoyé auprès de votre banque). En ce qui concerne la façon dont vous devez calculer et déclarer l’impôt bourse, elle dépend de plusieurs paramètres. Cela implique la répartition des revenus entre bénéfice et revenu, jusqu’à concurrence de toute perte ainsi que de la période de détention du titre ou de tout avantage auquel vous pourriez avoir droit. Sachez pourtant que les documents à remplir sont différents pour chacune de ces différentes situations. Mais avant de remplir la case et de comprendre ce que vous faites, vous devrez effectuer un bref examen des revenus de vos placements.
  • Fiscalité en France : En principe, les plus-values ​​de cession de votre ligne de comptes-titres sont soumis à un prélèvement forfaitaire unique (PFU). Il correspond à un pourcentage de 30% soit 12,8% d’impôt sur le revenu, 17,2% de prélèvement social. Vous avez cependant la possibilité de l’exonérer en choisissant un barème progressif de l’impôt sur le revenu. Celui-ci s’applique à tous vos revenus financiers. Cette deuxième option vous permet de percevoir une indemnité d’au moins 50 % qui n’est pas applicable en cas d’imposition boursière par le PFU sous certaines conditions.

Quelques Astuces pour Prolonger ou Alléger le Paiement de l’Impôt Bourse

  • Choisir la déduction forfaitaire unique : Si vous avez besoin d’un certain marge pour régler vos impôts en cas de perte, choisissez la déduction forfaitaire unique. Cela vous permet de déduire directement votre perte en capital pour les 10 prochaines années. Sachez toutefois que cette option n’est applicable que si votre foyer fiscal n’avait aucune perte déductible auparavant.
  • Opter pour le PEA : Si vous n’avez pas de compte-titres et dispose d’un PEA, vous profiterez d’une défiscalisation sur vos revenus après cinq ans d’ouverture. En revanche, si vous remboursez ou vous vous retirez avant 5 ans, on indiquera les plus-values sur la ligne 3VT. Il en est de même dans le cadre du PEA-PME.
  • Essayer l’imposition au barème : Pour ceux qui veulent être exonéré de l’impôt forfaitaire, ils peuvent opter pour l’imposition au barème. Ce type d’allocation est surtout dédié aux investisseurs qui souhaitent détenir leurs titres sur le long terme. Si cette alternative vous tente, cochez la case 2OP. Cela vous permettra de mettre tous vos revenus dans un port commun imposé selon un barème progressif (de 0% à 45%). En outre, ce type d’imposition offre un avantage fiscal intéressant dont la réduction de la durée de garde à vue de droit commun de vos bénéfices boursiers.

Mais quel que soit votre choix, sachez que chacun des options citées ci-dessus présentent des avantages et des inconvénients. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle vous devrez bien réfléchir avant de prendre votre décision.

Impôt Bourse – PEA Investir en Bourse sans Payer d’Impôts

Le PEA bourse ou le Plan d’Epargne en Action présente une fiscalité attractive pour investir en bourse. Il vous permet de profiter d’une défiscalisation lorsqu’il n’y a pas de retraits. En ce qui concerne les limites de paiement, elles sont fixées respectivement à 150 000 € et 300 000 € par personne et par foyer fiscal. En revanche, il n’y a pas de plafond sur les avoirs détenus.

Avantages du PEA

Le PEA, de préférence à un compte-titres classique, permet d’investir dans des actions cotées ou non cotées de sociétés ayant leur siège social en France ou dans l’Union Européenne. Il vous permet également d’acquérir des parts de fonds investis dans ce type d’actions.

Si vous détenez les titres pendant 5 ans, vous profiterez d’une exonération d’impôt sur vos plus-values. En revanche, vous devez payer une contribution sociale de 15,5 %. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle nous vous recommandons de le planifier le plus tôt possible.

Inconvénients du PEA

En revanche, les actions aux États-Unis ou dans d’autres pays non européens ne sont pas éligibles à l’investissement via un PEA. Il en est de même pour la sicav et les fonds communs de placement. Pour pallier cela, nous vous recommandons de regrouper les actions cotées, les fonds et les fonds indiciels au sein d’un même portefeuille. Puis, essayez de diversifier vos placements, vos domaines d’activité et vos valeurs (petites et grandes).

Comment Optimiser le PEA en ?

Les PEA sont idéaux pour les investissements à 5 ans ou à long terme. Pour les épargnants qui souhaitent minimiser leur risque sur leur épargne ou qui s’attendent à avoir besoin de liquidités au cours des deux prochaines années, des produits comme le Livret A sont préférés, mais avec des rémunérations moindres.

Pour ceux qui ont des plans ouverts dans les banques traditionnelles, les virements électroniques PEA peuvent réduire les frais de stockage et les coûts de tenue de compte. En particulier, les banques en ligne offrent des frais annuels jusqu’à quatre fois inférieurs à ceux des banques traditionnelles.

Impôt Bourse – Imposition des Bénéfices Boursiers

  • Le PFU : Le système actuel d’imposition de base des plus-values ​​boursières est appelé Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU). Le PFU est composé de 12,8% d’impôt sur le revenu et de 17,2% de charges sociales pour un total de 30%.
  • L’Echelle Progressive : Une autre possibilité est de choisir un barème progressif de l’impôt sur le revenu. Dans ce cas, les plus-values ​​boursières sont réduites de 50 % pour les titres détenus depuis 2 à 8 ans et de 65 % pour les titres détenus depuis 8 ans ou plus, puis ajoutées aux autres revenus lors du dépôt des déclarations fiscales. Toutefois, cette limite s’arrête aux titres acquis avant le 1er janvier 2018.

Si vous choisissez la taxation progressive des sommes perçues sous forme de dividendes, vous pouvez bénéficier d’une réduction pouvant aller jusqu’à 40 %. Quant au système progressif, il vous permet de bénéficier de la déduction CSG dans la limite de 6,8 %. Cependant, si opter pour un impôt progressif sur les plus-values ​​boursières peut sembler intéressant, sachez que tout dépend de votre tranche d’imposition.

De manière générale, si votre couverture fiscale est de 30% ou plus, choisir un PFU serait certainement plus intéressant. Il est également important de garder à l’esprit que ce mode d’imposition s’applique à tous les revenus et qu’il s’agit d’un choix global.

Cas particulier de PEA

Les PEA bénéficient d’une fiscalité particulière, ce qui est un atout majeur.

En effet, dans le cas d’un PEA, vous ne serez taxé que si votre compte est retiré ou clôturé.

De plus, après 5 ans d’ancienneté dans le PEA, vous êtes exonéré d’impôt sur le revenu, vous ne devez donc payer que 17,2 % de votre cotisation à la Sécurité sociale.

Impôt Bourse – Impôt sur les Dividendes

  • Les dividendes perçus après 2018 sont soumis à un prélèvement forfaitaire unique à la source (PFU) et sont de 30% hors options. Ce pourcentage total comprend la taxe elle-même (12,8 %) et les cotisations de sécurité sociale pour un montant de 17,2 %. En contrepartie, diverses déductions sont supprimées.
  • Si le taux du PFU n’est pas attractif pour le contribuable, il peut toujours opter pour une imposition progressive sur le barème de l’impôt. Dans cette situation, vous pouvez bénéficier d’une réduction de dividende (40%) et d’un prélèvement d’une partie de votre CSG (6,8%). La pension alimentaire est également déductible.
  • Quel que soit leur montant, les dividendes sont également soumis aux prélèvements sociaux (au taux de 17,2%). Les plus-values ​​sont appliquées au taux de 30% au titre d’un prélèvement forfaitaire unique (PFU) sauf option. Ce pourcentage total comprend l’impôt lui-même (12,8%) et les cotisations sociales de 17,2%. En échange, diverses réductions des forces armées ont été abolies.

Impôt Bourse – Quelle fiscalité pour un compte-titres ?

Un Compte Commun de Titres (CTO) est un instrument financier qui permet d’investir dans des valeurs mobilières cotées en bourse, des actions d’entreprises publiques ou privées, du papier de pierre (immobilier), des fonds indiciels, etc. Les revenus et plus-values ​​accumulés dans ce Compte d’Instruments Financiers (CIF) sont soumis à l’impôt.

Depuis 2018, la taxation des CTO est automatiquement appliquée sous un régime d’imposition forfaitaire par défaut. On soumet ce prélèvement forfaitaire unique (PFU) sur les bénéfices de toute nature (plus-values, dividendes, etc.). Il s’élève actuellement à 12,8% majoré des prélèvements sociaux (taux actuel de 17,2%).

Cependant, les investisseurs peuvent préférer un système fiscal traditionnel à un barème progressif de l’impôt sur le revenu (IR). Le niveau d’imposition est alors déterminé en fonction du coût marginal d’imposition (TMI) calculé par l’administration fiscale.

Est-ce que les Actions Sont Imposables ?

Si le taux du PFU n’est pas attractif pour le contribuable, il peut toujours opter pour une imposition progressive sur le barème de l’impôt. Une déduction pour période de détention a été ajoutée pour réduire les charges fiscales. 50 % pour les durées de détention du titre comprises entre 2 et 8 ans et 65 % au-delà.

Plus de paiements incitatifs sont disponibles pour les investissements dans le capital des petites entreprises. En outre, et jusqu’à 85% de paiements sont disponibles pour les investisseurs qui détiennent leurs actions depuis au moins 8 ans. Cette règle ne s’applique pas aux titres acquis après 2018.

Particularité du PEA : Certaines taxes s’appliquent lorsque les actions sont détenues dans le cadre d’un plan d’épargne en actions (PEA). Si vous retirez des titres ou des espèces du PEA après le 5e anniversaire du plan, vos revenus ne sont pas imposés. Cependant, vous devez payer une cotisation de sécurité sociale (17,2%).

S’agissant des retraits antérieurs au 5ème anniversaire du plan : Pour les retraits à partir du 1er janvier 2019, une contribution sociale (17,2%) s’ajoute au PFU au taux de 12,8%. Pour un total de 30 %.

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Trader & Analyste Financier
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